RÉUSSITE DU REPAS DE LA SECTION D'AMIENS
Plus de 70 camarades se sont retrouvés dimanche dernier autour d'un repas convivial et chaleureux marqué par l'intervention de Thierry Aury, qui avait conduit la liste du Front de Gauche lors des dernières régionales, et par une carbonnade de haute qualité qui a ravi toutes les papilles.
27 novembre 2012
24 novembre 2012
PIERRE LAURENT A LONGUEAU
La candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle de 2012 a suscité un élan populaire exceptionnel. Quelque chose de neuf s’est enfin produit à gauche après des années de division et de dispersion.
Mais que devient ce mouvement une fois l’élection passée ? Feu de paille ou promesse d’une nouvelle façon de faire de la politique?
« Prenez le pouvoir », la question reste entière.
Pierre Laurent, 1er secrétaire national du Parti Communiste français et codirigeant du Front de Gauche, tire les enseignements de cette expérience.
Comment la poursuivre ?
Quel changement possible aujourd'hui, dans un nouveau contexte, avec un gouvernement et une majorité de gauche à l'Assemblée et au Sénat ?
Maintenant prenez le pouvoir invite à la réflexion, au débat et à l’action avec une seule certitude : rien ne se fera sans la mobilisation inventive des citoyens.
Mais que devient ce mouvement une fois l’élection passée ? Feu de paille ou promesse d’une nouvelle façon de faire de la politique?
« Prenez le pouvoir », la question reste entière.
Pierre Laurent, 1er secrétaire national du Parti Communiste français et codirigeant du Front de Gauche, tire les enseignements de cette expérience.
Comment la poursuivre ?
Quel changement possible aujourd'hui, dans un nouveau contexte, avec un gouvernement et une majorité de gauche à l'Assemblée et au Sénat ?
Maintenant prenez le pouvoir invite à la réflexion, au débat et à l’action avec une seule certitude : rien ne se fera sans la mobilisation inventive des citoyens.
Pierre LAURENT sera dans la
Somme le 29 novembre !
Jeudi
29 novembre 2012
19h00
salle d’Honneur
Mairie de Longueau
21 novembre 2012
La France, leader européen des faibles coûts, selon une agence officielle
«L’attractivité de la France est en hausse » : ce constat établi en mars 2012 par la chambre de commerce américaine en France est mis en exergue de son rapport annuel par l’Agence française pour les investissements internationaux (Afii). Dans un rapport précédent, cette agence affirmait : « En termes de coût global d’une entreprise, la France est leader européen des faibles coûts. En France, les coûts d’implantation d’une entreprise, incluant la main-d’œuvre, l’immobilier, le transport, les services publics et les taxes, sont très compétitifs. » L’Afii n’est pourtant pas un repère de syndicalistes. Elle a été créée en 2001, par un gouvernement de droite, alors que Jacques Chirac était président de la République. L’Afii fait en outre référence à l’étude biennale « Choix concurrentiels » du cabinet anglo-saxon KPMG, qui compare les coûts d’exploitation d’une entreprise dans plus de 100 villes dans 9 pays. La France s’y distingue par des coûts globaux particulièrement avantageux pour l’implantation d’une entreprise. Ces coûts concernent la main-d’œuvre, l’installation, les transports, les services publics (électricité, gaz naturel, télécommunications), l’impôt sur les bénéfices…
Et il est vrai que notre pays attire nombre de capitaux internationaux. Depuis 2007, la France a accueilli 256,2 milliards d’euros d’investissements étrangers, contre près de 200 milliards pour l’Allemagne.
Ces arguments exposés par l’Afii à l’adresse d’investisseurs étrangers contredisent singulièrement la campagne de la droite et du Medef – à laquelle le gouvernement cède – présentant une économie française plombée par un coût du travail. Il est vrai que la France a des atouts, notamment grâce à ses services publics mais, pour autant, elle perd des parts de marché à l’international et son déficit extérieur devient béant. Cherchez l’erreur.
Nous avons déjà pointé cette contradiction dans le discours de la droite et du Medef : pour eux l’entreprise, ce sont les patrons, mais quand il s’agit d’évaluer les coûts de production, il n’y a plus que les salariés et le coût du travail. En vérité, la notion de compétitivité ne peut déboucher sur autre chose, elle est piégée dans la mesure où son véritable critère d’évaluation est la rentabilité des capitaux, leur rémunération. Est compétitif un pays qui « rapporte ». À l’opposé, si l’on se place du point de vue du peuple travailleur, c’est le critère d’efficacité sociale qui doit prévaloir : comment faire pour que les ressources soient utilisées de la manière la plus efficace en termes d’emploi, de valeur ajoutée, de développement humain ? Telle est la bonne question.
Et il est vrai que notre pays attire nombre de capitaux internationaux. Depuis 2007, la France a accueilli 256,2 milliards d’euros d’investissements étrangers, contre près de 200 milliards pour l’Allemagne.
Ces arguments exposés par l’Afii à l’adresse d’investisseurs étrangers contredisent singulièrement la campagne de la droite et du Medef – à laquelle le gouvernement cède – présentant une économie française plombée par un coût du travail. Il est vrai que la France a des atouts, notamment grâce à ses services publics mais, pour autant, elle perd des parts de marché à l’international et son déficit extérieur devient béant. Cherchez l’erreur.
Nous avons déjà pointé cette contradiction dans le discours de la droite et du Medef : pour eux l’entreprise, ce sont les patrons, mais quand il s’agit d’évaluer les coûts de production, il n’y a plus que les salariés et le coût du travail. En vérité, la notion de compétitivité ne peut déboucher sur autre chose, elle est piégée dans la mesure où son véritable critère d’évaluation est la rentabilité des capitaux, leur rémunération. Est compétitif un pays qui « rapporte ». À l’opposé, si l’on se place du point de vue du peuple travailleur, c’est le critère d’efficacité sociale qui doit prévaloir : comment faire pour que les ressources soient utilisées de la manière la plus efficace en termes d’emploi, de valeur ajoutée, de développement humain ? Telle est la bonne question.
Pierre Ivorra - l'Humanité
15 novembre 2012
14 novembre 2012
REPAS-BANQUET
DIMANCHE
25 NOVEMBRE
à 12H00
SALLE MUNICIPALE N°170 RUE SAINT
HONORE
organisé par la section PCF d'Amiens
en présence de Thierry AURY qui a conduit la liste du Front de Gauche
aux régionales en 2010
organisé par la section PCF d'Amiens
en présence de Thierry AURY qui a conduit la liste du Front de Gauche
aux régionales en 2010
MENU : entrée de crudités ; carbonnade
flamande ; framboisier
PRIX : 10 euros (boisson en supplément)
INSCRIPTIONS : remplir et faire parvenir le bulletin de
participation en précisant le nombre de repas, accompagné du
règlement, au 18, faubourg de Hem, ou en téléphonant au 03 22 69 24 40
8 novembre 2012
Pour l’emploi et la solidarité en Europe
manifestation
mercredi 14 novembre
Amiens
16h30
Maison de la Culture
Maison de la Culture
7 novembre 2012
Le coût du capital : une facture beaucoup trop salée
pour le peuple
A longueur d’antenne le patronat se lamente sur le coût
du travail, ses poches seraient vides il serait au bord du gouffre et de la
faillite. Quelques journalistes économiques forts dociles leur expriment leur
compassion et si ça ne suffit pas on rappelle les vieux de la vieille
(Elkabach, Duhamel, De Closets…) la larme à l’œil et prêts à réclamer des sacrifices
aux salariés, aux retraités, aux chômeurs.
Qu’en est-il en réalité ?
En 2011 :
·
40 milliards d’euros ont été versés aux
actionnaires du CAC 40
·
60 milliards d’euros ont été accordés au
patronat au titre de l’aide publique aux entreprises (subventions, exonération
de cotisation)
·
50 milliards d’euros d’évasion fiscale (l’évaluation
la plus haute se situe à 80 milliards d’euros)
C’est le capitalisme qui coûte cher, le travail lui ne
fait que produire des richesses matérielles et intellectuelles.
Le gouvernement élu par le peuple de Gauche cherche
désespérément 30 milliards pour équilibrer son budget. Il faut croire que les
larmes capitalistes l’ont profondément ému puisque Jean-Marc Ayrault a décidé
de faire porter l’essentiel de l’effort économique sur les salariés et leurs
familles.
Crainte ou soumission de la part du Parti Socialiste qui
oublie bien vite les 4 millions de voix du Front de Gauche et les millions d’autre
voix de gauche qui attendaient une politique de progrès social ?
En 1981 la politique de progrès social avait été menée
jusqu’en 1983, jusqu’à ce que le Parti Socialiste oublie le peuple et se
convertisse au libéralisme … En 1986 Chirac devenait Premier Ministre à l’issue des
législatives victorieuses de la Droite.
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