21 octobre 2018

Relayons la parole de nos élus PCF


Nos élus PCF se battent dans toutes les institutions dans lesquelles ils siègent afin de mettre en oeuvre les valeurs de la gauche, celles d'un  progrès durable et équitable.
Au département, la droite et la macronie font causes communes. Aidons nos élus à s'y opposer. 
Relayons le discours de JC Renaux (élu PCF de la Somme) :



Conseil Départemental de la Somme
Session du Budget Supplémentaire

Lundi 15 octobre
Intervention du groupe PCF


Monsieur le Président,
Chère-e-s Collègues,

Ces derniers jours, la presse locale est venue confirmer nos intuitions maintes fois répétées en session selon lesquelles l’exécutif départemental était sensible aux orientations gouvernementales pour l’essentiel.

A savoir l’assèchement des politiques publiques pour répondre à l’idée fixe de réduction de la dépense et de la dette publique.

C’est la démonstration pour celles et ceux qui en doutaient encore que la majorité départementale et son action sont solubles dans les politiques gouvernementales.

Mais c’est aussi la preuve que le nouveau monde s’accommode parfaitement des vieilles recettes qui cherchent à limiter l’engagement public pour résorber les inégalités.

A maintes reprises nous avons rappelé la détermination qui devait animer notre collectivité pour combattre et éradiquer les causes de l’injustice plutôt que d’encadrer ses maux avec un recul de plus en plus lointain et des critères de plus en plus sélectifs des publics.

Les désengagements sévères énumérés et préconisés par le document « Refondation » qui orientent votre stratégie jusque 2021sont respectés.

Malheureusement pour le plus grand drame des solidarités départementales, des personnes et des territoires.

Les ajustements au Budget Supplémentaire que vous nous proposez ne modifient en rien l’orientation et la finalisation d’un Budget Primitif que nous avons dénoncé.

Depuis 2015, Monsieur le Président, vous avez engagé une politique de rigueur et de restrictions sur toutes nos actions. Vous êtes aujourd’hui rejoint par L’État et la préfectorale qui vont vous accompagner pour valider toutes vos orientations d’austérité.

Votre vice président aux finances porte cette caution !

Aujourd’hui, vous faites entrer volontairement et le plus naturellement qu’il soit le Département dans le carcan budgétaire fixé par l’État.

Votre vice président aux finances porte cette garantie !

Vous prétendez être attaché au département et défendre son existence mais le zèle avec lequel vous répondez aux injonctions gouvernementales d’affaiblir et de réduire le service public départemental participe voire anticipe sa disparition !

Votre vice président aux finances en atteste !

Vous êtes en quelque sorte les fossoyeurs d’un enterrement programmé par le gouvernement.

Réduire la dépense publique, voila l’obsession de votre majorité.

Fragiliser pour mieux démanteler les services publics locaux , ouvrir des parts de marché au privé , au nom de la compétitivité économique des territoires, cela émane d’une rencontre entre le Gouvernement Macron et l’action de votre Majorité.

Au final rien ne vous oppose à cet étranglement budgétaire imposé par le Gouvernement.

Bien au contraire.

Vous n’avez jamais eu réellement l’intention de vous opposer à ces contrats avec le Préfet et les conclusions du BP 2018 par les modifications du BS l’attestent.

Nous aurions aimé que vous déployiez un bras de fer avec l’État pour mettre au cœur des négociations l’ampleur de la dette pour obtenir une enveloppe de rattrapage qui puisse répondre aux immenses besoins des habitants et des territoires !

C’était l’occasion d’engager sur des bases ambitieuses une négociation pour obtenir des moyens, mais vous avez préféré semble t-il capituler et ne pas mener ce combat pour le mieux vivre des Samariens.

Vous vous y êtes refusé, même si la redistribution des postures au sein de l’exécutif relève plus d’un jeu de rôle qu’autre chose.

Les quelques 2,70 % d’ajustements contenus dans ce Budget Supplémentaire pour clore le BP 2018 font la part belle aux cagnottages au dépens des besoins des populations, des solidarités, des actions culturels, associatives et éducatives.

Nous ne commenterons pas les différents chapitres et actions qui bénéficieront de modestes ajustements, hormis l’enseignement privé qui reste une priorité de votre attention comme nous aimerions que l’enseignement public le soit.

Nous resterons vigilants.

Par contre nous ne pouvons que rester dubitatifs sur les réserves financières de résorption de la dette et des dépenses imprévues qui flambent de 73 %.

Monsieur le Président, nous vous invitons à faire le choix de l’audace lors du prochain DOB et BP 2019 car les besoins humains sont immenses.

Nous vous invitons à renoncer à la thérapie de choc à l’encontre de notre Département , de ses populations et territoires.

Nous vous invitons à cesser la baisse des services rendus aux habitant-e-s et à ne plus financer le désendettement du Département par une austérité sur les politiques du Département.

Vous comprendrez que pour toutes ces raisons nous condamnions avec force la démission politique que vous incarnez avec votre vice président aux finances.

Pour conclure, nous vous enjoignons de cesser cette politique du "MAL-VIVRE EN SOMME ».

Je vous remercie.







8 octobre 2017

Pourquoi la politique de Macron doit être rejetée ?

Macron nous propose une politique libérale classique qui vise à satisfaire les capitalistes mondialistes de la classe dominante en favorisant la précarité.
Le pire est le poison instillé dans la société; celui de nous faire croire que les libertés collectives au travers des institutions sont un frein aux libertés individuelles.
Ainsi, tout le monde devrait devenir son propre patron dans un monde de mise en concurrence sans règles communes, sans codes, un monde ubérisé !
La casse du code du travail préfigure le détricotage des liens sociaux. Cela n'est qu'un début, la prochaine attaque vise l'enseignement professionnel qui devra former un outil de production et non plus un citoyen éclairé.
Pire encore, les collectivités territoriales sont saignées à blanc afin que l'Etat s'arroge les possibilités (ou les impossibilités) de redistribution.
ALORS OUI  !
MANIFESTONS CONTRE LA  MACRON ECONOMIE !

Montrons qu'il n'y a pas de majorité sociologique dans le pays pour nous obliger à accepter cette politique.


APPEL UNITAIRE DE :
                 CGT, CFTC, CFE-CGC, CFDT, FA, FO, FSU, UNSA et Solidaires

Fonction publique : mobilisé.e.s le mardi 10 octobre

Depuis l'arrivée du nouveau gouvernement, les mesures négatives s'accumulent pour les agents.e.s de la Fonction publique : gel de la valeur du point indice, rétablissement de la journée de carence,
perspective de 120 000 suppressions d'emplois sur les 3 versants de la Fonction publique...

Et contrairement à l'engagement fait aux agent.e.s public.que.s par Emmanuel Macron dans le cadre
de sa campagne présidentielle : “J’augmenterai votre pouvoir d’achat, comme celui des salariés des
entreprises : vous paierez moins de cotisations et votre salaire net sera augmenté d’autant”, la
hausse de la Csg se traduira au mieux par une simple compensation dans la Fonction publique, c'est
à dire sans gain de pouvoir d'achat pour les agent.e.s !

Ainsi, toutes ces mesures vont impacter fortement et négativement le pouvoir d'achat de plus de 5,4
millions d’agent.e.s public.que.s et fragilisent les services publics rendus aux usagers. C'est
inacceptable.

C'est totalement injuste pour les agent.e.s, et c'est totalement inefficace pour une Fonction publique
de moins en moins attractive dans de nombreux secteurs. Ces mesures ne contribuent en rien à
l'amélioration de la qualité des services publics. Services publics au sujet desquels nos organisations
syndicales rappellent leur demande d’un débat de fond sur ses missions s’appuyant sur le bilan des
réformes déjà engagées. Enfin, nos organisations rappellent leur attachement au code des pensions
civiles et militaires et seront très vigilantes sur la future réforme des retraites annoncée pour
l’ensemble des agent.e.s public.que.s.

C'est pour faire entendre ces profonds désaccords que les organisations syndicales appellent
toutes et tous les agent.e.s à la grève, aux manifestations ou rassemblements (selon des
modalités définies par les différents secteurs) pour se mobiliser le mardi 10 octobre prochain,
date choisie par le ministre pour la tenue d'un rendez-vous salarial.

Elles exigent une véritable négociation salariale qui aboutisse à une réelle reconnaissance du travail,
des missions et de l'engagement professionnel des agent.e.s par une augmentation du pouvoir
d'achat et la revalorisation des carrières, le non rétablissement de la journée de carence et les
moyens nécessaires pour permettre aux agent.e.s d'exercer leurs missions de services publics.

Paris, le 15 septembre 2017

4 juillet 2017

Voici deux liens qui pourront, je l'espère, vous éclairer..


https://www.politis.fr/articles/2017/04/video-monique-pincon-charlot-macron-est-le-candidat-des-milliardaires-36713/

https://www.facebook.com/Particommuniste/?hc_ref=NEWSFEED&fref=nf

Est-on en marche vers un troisième tour social?
Macron, candidat de niche, des bobos des grandes agglomérations françaises, est devenu par un concours de circonstance président de tous les français. La France serait donc devenue à l'instar de son président européiste, ultra libérale et mondialiste. Nos élus communistes ont commencé à s'opposer et nul doute que les futures ordonnances gouvernementales ne seront pas remboursées par la sécurité sociale, tant le côté social y sera absent.
Alors le troisième tour dans la rue?

13 mai 2017

LEGISLATIVES 2017


La candidature de Jean-Claude RENAUX comme suppléant de Pascale BOITARD,n'est pas une décision qui engage la section de Camon. C'est un choix qui engage Jean-Claude RENAUX qui en a fait part à ses camarades. Chacun reste libre de ses choix.

29 avril 2017

2ème tour des élections présidentielles

 VOTONS MACRON
le 7 mai prochain

Résultat de recherche d'images pour "dessin fascisme pcf"
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Je comprends le désarroi devant le choix qui s’impose à nous pour le deuxième tour de l'élection présidentielle. D'un côté le candidat de la mondialisation et de l'ubérisation, de l'autre la candidate fasciste et populiste. Lorsque l'on est démocrate et anti-capitaliste, il faut choisir.
 Aujourd'hui, la menace fasciste est supérieure à la menace capitaliste. Une Marine Le Pen cheffe de l'Etat et donc des armées, contrôlant une armée et une police aisément loyaliste, ne laisse rien augurer de bon pour notre démocratie. S'abstenir c'est donc ne pas être sûr de pouvoir revoter avant longtemps et prendre le pouvoir quand il est aux mains des fascistes, nécessite une guerre civile... Évitons la tant que nous le pouvons.

 Il n'y a donc pas à tergiverser, il faut bloquer le FN. Ce même Front National qui, si il fait un bon score, s'invitera, soyez-en sûrs, dans les élections législatives et municipales avec un appétit féroce.
 Le 30 avril, nous commémorerons la journée nationale des Déportés. N'oublions pas le sang versé par nos aînés dans la lutte anti- fasciste. Il est de notre devoir, au moment de fleurir la tombe de nos anciens, de savoir que l'on a tout fait pour contrer les porteurs de haine.

17 novembre 2016

NE NOUS TROMPONS PAS D’INDIGNATION !



N
L’émission « Rue des Allocs » a fait couler beaucoup d’encre. Quelle honte de montrer les gens ainsi! Les pauvres sont jetés en patûre à l’audimat ! Journalisme poubelle et sans conscience… Bref l’indignation bien pensante et policée a déversé son flot habituel.
Mais ce qui était réellement révoltant c’est l’état de pauvreté voire de misère dans lequel vivent ces habitants de Saint Leu obligés pour certains de plonger dans les rieux pour récupérer quelques piécettes afin de survivre. Être pauvre, c’est terrible effrayant pour ceux qui ont peur de le revenir.  Être pauvre au 21ème siécle dans des conditions proches des misérables de Victor Hugo est dimplement révoltant.
Dans quelle société vivons-nous pour que des hommes et des femmes vivent dans de telles conditions alors que les milliards des plus riches s’envolent par la grâce de l’optimisation fiscale et que les dividendes emplissent les coffres des financiers . Les années de libéralisme féroces passées et à venir ne ferons qu’aggraver et amplifier la pauvreté et la misère si d’autre choix politiques forts et déterminés n’y mettent pas un terme.
Quant à la qualité des programmes de télévision …Peut-être verra-t-on un jour un reportage en immersion mettant en présence Pierre Gattaz, les banquiers d’HSBC et le premier ministre devisant cordialement dans un palace. Mais on vient de me taper gentiment sur l’épaule pour me dire que l’émission « faut pas rêver » exite déjà.

12 novembre 2016

Pourquoi pas nous ?



Ronald Reagan, acteur de seconde zone, Georges W Bush, milliardaire du pétrole et maintenant Donald Trump, milliardaire de l’immobilier : on peut reconnaitre un talent certain des Américains qui votent pour porter au pouvoir des personnalités "atypiques" et fortunées. 


Cela ouvre par ailleurs de grands espoirs pour Les Républicains qui présentent parmi leurs candidats un ancien président de la République, avocat d’affaires, qui va transformer le jambon en frites et bouter le migrant hors de France.

A l’instar des Etats Unis pourquoi n’aurions-nous pas la chance d’avoir un énergumène à  ,lElysée ?
De surcroît il s'agirait d'un énergumène expérimenté, nous serions alors proche du sublime.

20 octobre 2016

Soutien aux Goodyear à Amiens les 19 et 20 octobre

Forte mobilisation dès le 19 octobre pour soutenir les 8 de Goodyear lors de leur procès. Malgré cela le parquet s'entête à poursuivre les militants et requiert deux ans de prison avec sursis. Rappelons que les dirigeants de Goodyear avait retiré leur plainte, aucune violence n'ayant été commise contre les cadres retenus. Il s'agit bien là d'un acharnement du pouvoir contre l'action syndicale qui défend l'emploi. Ce pouvoir préfère plaire aux milliardaires qui auront reçu 40 milliards de CICE à la fin du quinquennat...



3 septembre 2016

Une brèche dans le mur TAFTA !


 
Dans l’enfumage créé par « l’OVNI Macron » et sa mise en orbite pour 2017, une annonce du gouvernement a quelque peu été étouffée.
Matthias Fekl, secrétaire d'État au Commerce extérieur, a annoncé que la France retirait son soutien politique aux négociations menées par la Commission européenne avec les Etats-Unis sur le TAFTA et qu'elle demandera, au Sommet de Bratislava fin septembre, l'arrêt pur et simple des négociations à l'échelle européenne.
Le PCF, satisfait de cette prise de position française, demeurera extrêmement vigilant quant à sa mise en œuvre. 
Cette annonce est le résultat d'une mobilisation citoyenne, politique et sociale sans précédent à l’échelle européenne contre un projet opaque, négocié dans le secret, et faisant courir le risque aux peuples européens et américains, d'un abaissement généralisé de leur qualité de vie au profit des seules multinationales. C’est une première victoire à son actif !
La déclaration de M. Fekl, confirmée par François Hollande, ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. Le chef de l’Etat a confirmé la volonté française de ratifier le CETA (Accord de libre-échange entre l’UE et le Canada) et le gouvernement laisse « vivre sa vie » à traités du même acabit le TISA (Accord qui vise la libéralisation des services publics).
Le PCF appelle le président et l'Exécutif à la cohérence et à la défense des intérêts économiques et sociaux de notre peuple et des peuples européens, et donc à retirer de la même façon son soutien au  CETA et au TISA pour initier au contraire des traités de maîtrise des échanges visant le développement humain, social et écologique, et celui des biens communs.
Ce qui est aujourd’hui contesté par la France et l’Allemagne dans le TAFTA, c’est la faiblesse des retombées économiques pour l’Europe et non l’opacité, l'affaiblissement des souverainetés nationales, le contenu néfaste de ces accords de libre-échange pour les droits sociaux, les services publics, l'alimentation, la culture de tous les peuples concernés. Il s’agit d’attaques en règle pour abattre non seulement les normes de protection, mais également les États, et à travers eux la souveraineté des peuples. Leur objectif est de sanctuariser la puissance de la multinationale comme forme de gouvernement, au service des intérêts des « 1% ».
Un autre chemin, celui d’une régulation commerciale mutuellement bénéfique pour les peuples, ayant le souci du bien commun au niveau international, est pourtant possible. La France devrait en être la promotrice.
Dans cette perspective, le PCF sera de celles et de ceux qui, dans de nombreux pays européens, participeront à la poursuite de la mobilisation dans les semaines à venir pour dire non au TAFTA et au CETA, et particulièrement en France le 15 octobre prochain.

Parti communiste français,

Paris, le 31 août 2016.

Les communes de Camon, Longueau, Roye, le Conseil Général de la Somme, la région de Picardie et la Région Nord Pas de Calais s’étaient prononcées en 2014 et 2015 contre la ratification en l'état du TAFTA 

30 août 2016

Besnier et le pot au lait

Pour vivre heureux, il préférerait rester caché, loin des projecteurs médiatiques. Cette discrétion, il l’applique même aux comptes de son entreprise : top secret !
Même les délégués syndicaux ne sont pas capables de chiffrer ses immenses bénéfices. Tout juste évalue-t-on sa fortune personnelle à 7,6 milliards d’euros, au 13e rang français. Tout cela circule dans l’opacité d’une holding belge. Le système est rodé. Lactalis paie aux producteurs le lait moins cher qu’il ne leur coûte. À eux de gérer leurs pertes ! Et pas de discussion surtout, le capitalisme branché a des allures de féodalité bien comprise et quelques fois prêchée par certains syndicalistes agricoles qui ont eux-mêmes de solides intérêts dans le système. Mais cette addition de la dîme, des corvées et de la taille provoque dans les campagnes une nouvelle jacquerie. Fini, l’accumulation paisible comme l’avait pratiquée les générations précédentes de ce marquis du lait. Aujourd’hui, Emmanuel Besnier est dans les phares des tracteurs qui bloquent une quinzaine de ses sites.
Soyons honnêtes. Lactalis n’est pas la seule entreprise à faire son beurre sur le dos des éleveurs. C’est même le fond du système qui pressure le travail de paysans souvent aveuglés par l’impression que leur travail est indépendant et qu’ils en sont les maîtres, tandis qu’un nœud coulant les étrangle, les poussant à surinvestir – et donc à s’endetter – pour produire plus ce qu’ils vendront moins cher. Souvent le souffle manque… Les suicides, plus ou moins déclarés comme tels, sont légion dans les campagnes. Et combien perdent tout dans ce jeu inégal !
Emmanuel Besnier veut rester inflexible. Il sait qu’il a des amis. Certains lui ont offert le CICE, d’autres ou les mêmes le pacte de responsabilité additionné de la loi El Khomri, et on lui fait même miroiter la fin de l’impôt sur la fortune. La toute petite minorité qui profite du système économique fait bloc pour le protéger. C’est une force. Mais elle reste une toute petite minorité…

directeur de la rédaction de l'Humanité